« Un nom à retenir dans la toute jeune génération des pianistes français : Olivier Moulin n’a que 22 ans et a joué, salle Varèse, le 3ème Concerto de Prokofiev en vrai maître : belle technique libérée de toute contrainte, plénitude des sonorités, domination tranquille de l’écriture athlétique de Prokofiev, sens du discours… De plus, il s’intégrait à l’orchestre comme s’il connaissait tous les pupitres aussi bien que sa partie »
Philippe ANDRIOT